Ok, so what ? you're just another mistake among others

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Hawks, Darren
LIBRE PRIS EN ATTENTE RÉSERVÉ

© Mymz
DYNAMITE

Sûr de lui
Narcissique
Souriant
Pervers
Dévoué
Rancunier

RIVER DEEP, MOUNTAIN HIGH :

Cause girl if you want, I'll pour a gallon of gasoline on my heart just to light your cigarette.

SINGING BILLIE JEAN ; MIXING VODKA WITH CAFFEINE :

Darren Hawks, 26 ans, riche et surtout fils à papa. Indirectement protégé par son statut, a honte de se montrer riche alors fait tout pour le cacher, ou à peu près tout. C’est toujours bien de garder une part de soi quand on veut impressionner les gens. Direct, sans gêne, sans stress, posé mais énergique. Lunatique mais intelligent, rancunier, parfois violent. Sait ce qu’il veut et sait comment s’arranger pour obtenir un objet ou une personne quelconque. Doué, rusé, surprenant, il n’a pas la langue dans sa poche. Il est né à New York et a déménagé à Vancouver vers ses 12 ans. On ne lui passe par sur les pieds, il tient à son air de fendant voulu par toutes les filles. Il jouait les troubles faites au lycée, mais a décidé de se la jouer low profile et agir en douce en dessous de la table. Sinon, son métier est libre, choix d’études etc.

Give Up The Funk

I COULD FOLLOW YOU AROUND LIKE A PUPPY :

« So, demain soir, dîner chez mes parents. » J’arrête net, complètement figée. Je me retourne vers Darren et le dévisage. Puis, un sourire apparaît sur mes lèvres avant que j’éclate de rire. « Je rigole pas. Ils m’ont appelé et veulent qu’on aille manger chez eux demain soir. » J’en ai rien à foutre, pas question que je mette les pieds là-bas, pas maintenant. J’y ai été une fois, c’était une grande soirée et j’ai bien paru d’après mon mari. J’ai fait une bonne impression et ses parents m’apprécient, sauf que demain soir, y’a pas de grand événement. Ce sera ses parents, lui et moi et peut-être d’autres membres de sa famille qui vont se mettre à me poser des tas de questions, surtout sur comment lui et moi on s’est rencontrés, à quel degré on s’aime et comment on planifie notre vie ensemble. Avec un peu de chance, ils vont amener le sujet des enfants sur le plateau et là je vais réellement avoir peur. Parce que ouais, tout couple marié finit par faire des plans pour avoir une famille, non ? Non ! Pas moi, pas maintenant et pas avec lui. « J’suis malade, j’peux pas, désolée. » J’tousse faussement, levant les yeux au ciel. « Arrête de te foutre de moi, tu viens, c’est tout. » J’croise les bras et arque un sourcil, levant mon majeur par la suite. Au moment où j’me retourne, il attrape mon bras et me plaque contre le mur le plus proche. Il me fait pas mal, mais je trouve pas ça drôle quand même, enfin j’crois. « Lâche-moi, psycho ! » Il affiche ce sourire… narquois, joueur avec une touche de perversité. Il passe sa langue sur ses dents lentement et plonge son regard bleuté dans le mien. J’ai jamais réalisé jusqu’à maintenant qu’il était vraiment bien foutu en plus d’être beau. Ses bras retiennent les mains en l’air et il se colle à mon corps, comme pour m’écraser. Je le hais, cet enfoiré de connard de me deux ! Puis, il passe ses lèvres dans mon cou et remonte jusqu’à ma mâchoire. « T’es ma femme, tu me dois au moins ça. » Qu’il murmure dans mon oreille avant d’me lâcher et reculer. Il croise ses bras sur son torse et me démange du regard. J’ai l’impression d’être nue, malgré ma camisole, mon hoodie et mon short. Il se mord la lèvre inférieure et s’en va. J’crois que j’l’ai déjà entendu penser à voix haute, planifiant de me piéger pour je sais pas trop quoi, mais à voir ses expressions faciales parfois, j’ai même pas besoin d’me poser réellement la question. « J’TE DÉTESTE, ENFOIRÉ ! » Il éclate de rire en montant les escaliers. « Je sais et j’en ai rien à foutre ! » J’me demande encore pourquoi j’ai toujours pas pris mes affaires et déguerpi, sérieux. Je comprends pas comment je fais pour l’endurer, il me tape sur le système en plus d’être con et de me déstabiliser à chaque putain d’occasion qu’il a. J’me questionne sur le pourquoi du comment j’suis arrivée là et si j’devrais rester ou me casser. Y’a des trop de choses à prendre en compte de mon côté si j’décide de faire ça, alors je prends sur moi. J’suis pas la plus heureuse des filles mais j’me contente de c’que j’ai, parce que c’est mieux que la misère, c’est mieux que rien.